Source: Le diable l'emporte, René Barjavel, éd. Denoël, coll. Présence du futur, 1959 (ISBN 2-207-30033-1), partie Troisième partie, p. 213 - Le diable l'emporte, 1948
“On oublie vite les morts. On oublie très vite, aussi, les circonstances où l'on a été malheureux... Il ne faut pas s'en scandaliser : s'il en était autrement, la vie serait un cauchemar.”