Source: « Jean-Marc Rouillan raconte sa semi-liberté », Jean-Marc Rouillan (propos recueillis par Nicolas Arraize et Gilles Lucas), CQFD, nº 52, 15 janvier 2008, p. 4
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”