Source: 'Assassinat à Prado del Rey et autres histoires sordides, Manuel Vasquez Montalban (trad. Claude Bleton), éd. Paris : Points, DL 2007 (ISBN 978-2-75780-649-4), p. 195
“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”