Source: Rêveries du promeneur solitaire (1782), Jean-Jacques Rousseau, éd. Le Livre de Poche, coll. Classiques, 2001 (ISBN 978-2-253-160991), Première Promenade, p. 45
“Il perdait son emprise sur le monde comme sur moi et, à l'instar d'un grand nombre de personnes auxquelles cela arrive, il croyait à tort avoir atteint une certaine sagesse.”