Lecture (251 citations)

― Nuria Amat

Source:
Nous sommes tous Kafka

“Toute lecture, sans exception, est une représentation”

― Anne Fadiman

Source:
Ex-libris

“Lecture, douche, faire l'amour et rester encore un moment étendus ensemble, tel était le rituel de nos rendez-vous.”

― Bernhard Schlink

Source:
Le Liseur

“La vérité est que tout homme intelligent, vous le savez bien, rêve d'être un gangster et de régner sur la société par la seule violence. Comme ce n'est pas aussi facile que veut bien le faire croire la lecture des romans spécialisés, on s'en remet généralement à la politique et l'on court au parti le plus cruel.”

― Albert Camus

Source:
Œuvres III (1956), Paul Valéry, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 2008 (ISBN 978-2-07-011704-8), chap. La Chute, p. 721 - La Chute, 1956

“La lecture m'est indispensable, si je n'avais pas plusieurs livres d'avance sur ma table de nuit, je me sentirais démunie.”

― Françoise Bourdin

“Dans le poème chaque lecture laisse germer un nouveau sens.”

― Anonyme

“Lire est une initiation et un encouragement à la vie, mais confondre la lecture avec la vie elle-même, c'est lui ôter tout pouvoir thérapeutique et faire d'une passion une source de souffrance.”

― Laure Adler

Source:
Les femmes qui lisent sont dangereuses

“Vous savez, le manque de lecture, c'est terrible... Ce ne sont pas les grands livres qu'on choisit, on choisit par affinité, et, quelquefois, on est bouleversé par un livre qu'on est seul à connaître.”

― Henri Thomas

Source:
Les Heures lentes

“La lecture agrandit l'âme, et un ami éclairé la console.”

― Voltaire

Source:
Oeuvres complètes de Voltaire: Romans [Zadig, Candide, etc (ed. 1860)

“L'influence d'un livre ne dure guère plus longtemps que sa lecture.”

― Pierre Baillargeon

“Que la science que nous acquérons par la lecture ne soit pour nous que le ciseau du sculpteur ; qu'elle nous aide à tailler le bloc de pensées et de sentiments qui fait le fond de nous-mêmes.”

― Octave Pirmez

“La création et la risée se dissocient. L'air-roi s'annonce. Sorgue, tes épaules comme un livre ouvert propagent leur lecture. Tu as été, enfant, le fiancé de cette fleur au chemin tracé dans le rocher qui s'évadait par un frelon... Courbé, tu observes aujourd'hui l'agonie du persécuteur qui arracha à l'aimant de la terre la cruauté d'innombrables fourmis pour la jeter en millions de meurtriers contre les tiens et ton espoir. Ecrase donc encore une fois cet œuf cancéreux qui résiste...”

― René Char

Source:
Fureur et mystère (1948), René Char, éd. Gallimard, coll. Poésie, 1962 (ISBN 2-07-030065-X), partie SEULS DEMEURENT (1938-1944), Louis Curel de la Sorgue, p. 41 - Seuls demeurent (1938-1944)