Source: Histoire de Robespierre, Ernest Hamel, éd. Chez l'auteur, 1867, t. 3, p. 729 - Dernier discours à la Convention nationale, 26 juillet 1794 (8 thermidor an II)
“Il n'y a rien de tel qu'une attaque par surprise. La surprise n'intervient que lorsque l'un des deux commandants s'est totalement trompé dans son appréciation de la situation depuis le commencement.”