Source: Un cantique pour Leibowitz (1960), Walter Michael Miller, Jr., éd. Gallimard, coll. Folio SF, 2001, p. 297 - Un cantique pour Leibowitz (A Canticle for Leibowitz), 1960
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”