| “ Elle ne pouvait souffrir les gens qui disent : je suis trop vieux. La vieillesse lui paraissait particulièrement favorable pour y regarder de près, ne s'excuser de rien, se soutenir, se fortifier, s'épurer. Et c'est dans ce sentiment qu'elle arrivait à écrire, à cinquante-trois ans, ce mot d'une raison si haute et d'une grâce féminine si pénétrante, qui, sur un point fondamental, résume les doctrines exposées dans ce volume : " Je dis toujours que si je pouvais vivre deux cents ans, je deviendrais la plus admirable personne du monde. "” Source: L'éducation des femmes par les femmes (1885), Octave Gréard, éd. Hachette et cie, 1889, Préface, p. XXI |