Source: Penseurs grecs avant Socrate. De Thalès de Milet à Prodicos, Collectif (trad. Jean Voilquin), éd. Garnier frères, coll. GF-Flammarion, 1964, Fragment 8 (Voilquin), p. 122
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”