Source: « L'Enfant prodigue », dans Œuvres complètes de Voltaire, éd. Garnier frères, 1877, vol. 3, préface de l'édition de 1738, p. 445 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”