| “ Byron, élevé en calviniste, croit à la prédestination et, se constatant diabolique, attend l'enfer. Quand il dort, abrité par les rideaux rouges d'une courtine, il rêve des flammes éternelles. Les cauchemars de Hugo sont apocalyptiques, ceux de Byron sont sataniques. Mais à l'état de veille, c'est Byron qui, des deux, a le plus de bon sens.” Source: Don Juan ou la vie de Byron (1952), André Maurois, éd. Grasset, coll. Les Cahiers Rouges, 2006 (ISBN 2-246-14564-3), Préface, p. 13 - Don Juan ou la vie de Byron, 1952 |