Source: « Richard II » (1597), dans Œuvres complètes de William Shakespeare, William Shakespeare, éd. Pagnerre, 1865-1872, vol. 11, acte I, scène III, p. 106 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”