Source: Les Infortunes de la vertu, Donatien Alphonse François de Sade, éd. Garnier-Flammarion, 1969, p. 75 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - Les Infortunes de la vertu, 1787
“On oublie vite les morts. On oublie très vite, aussi, les circonstances où l'on a été malheureux... Il ne faut pas s'en scandaliser : s'il en était autrement, la vie serait un cauchemar.”