Source: « Oraison funèbre de Henriette-Anne d'Angleterre » (1670), dans Œuvres complètes, Jacques Bénigne Bossuet, éd. Outhenin-Chalandre fils, 1836, t. II, p. 576
“Il n'y a rien de tel qu'une attaque par surprise. La surprise n'intervient que lorsque l'un des deux commandants s'est totalement trompé dans son appréciation de la situation depuis le commencement.”