Source: « Oraison funèbre de Henriette-Anne d'Angleterre » (1670), dans Œuvres complètes, Jacques Bénigne Bossuet, éd. Outhenin-Chalandre fils, 1836, t. II, p. 576
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”