Source: Œuvres III (1956), Paul Valéry, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 2008 (ISBN 978-2-07-011704-8), chap. La Chute, p. 747 - La Chute, 1956
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”