Source: Manifeste du Parti communiste (1848), Karl Marx et Friedrich Engels (trad. Laura Lafargue), éd. Champ libre, 1983 (ISBN 2-85184-138-6), partie II (« Prolétaires et communistes »), p. 47-48
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”