Source: Le Neveu de Wittgenstein (1982), Thomas Bernhard (trad. Jean-Claude Hémery), éd. Gallimard, coll. Du monde entier, 1985 (ISBN 2-07-070200-6), p. 108
“C'est à l'animus qu'appartiennent les projets et les soucis, deux manières de n'être pas présent à soi-même. À l'anima appartient la rêverie qui vit le présent des heureuses images.”