Source: Le suicide et le chant. Poésie populaire des femmes pashtounes, Sayd Bahodine Majrouh (trad. André Velter), éd. Les Cahiers des Brisants, 1988 (ISBN 2-90539564-8), III, p. 38
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”