Citation de Oskar Freysinger

“Ce que nos concitoyens ne veulent pas, c'est la suspicion généralisée. Ils tiennent à l'armée de milice. Ils font confiance aux tireurs et aux collectionneurs, ainsi qu'à l'État, lorsqu'il permet d'avoir une arme. L'Etat leur fait confiance pour une gestion responsable.”

― Oskar Freysinger

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Ce que nos concitoyens ne veulent pas, c'est la suspicion généralisée. Ils tiennent à l'armée de milice. Ils font confiance aux tireurs et aux collectionneurs, ainsi qu'à l'État, lorsqu'il permet d'avoir une arme. L'Etat leur fait confiance pour une gestion responsable. - Oskar Freysinger

Autres citations de Oskar Freysinger

“Les dictatures sont les premières à désarmer leurs citoyens car l'arme, c'est le pouvoir.”

― Oskar Freysinger

“L'islam est une religion qui ne fait pas de distinction entre l'Eglise et l'Etat. On pourrait la qualifier de religion politique. Dans certains pays européens, cela débouche sur des exigences de législation parallèle. Nous ne voulons pas de ça en Suisse. En s'en prenant au minaret qui est un symbole de pouvoir, notre initiative entend placer un garde-fou avant que la situation soit irréversible.”

― Oskar Freysinger

“Les élites mondialistes de notre pays n'étant pas encore parvenues à porter un coup fatal à la démocratie directe, le peuple peut encore décider s'il veut continuer à se laisser imposer de multiples contraintes par le haut ou s'il veut reprendre les choses en main.”

― Oskar Freysinger

Source:
« La classe politique cherche à restreindre les droits populaires », Oskar Freysinger, Franc-parler, mars 2012, p. 5

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Oskar Freysinger

Naissance: 12 juin 1960 (64 ans)

Biographie: Oskar Freysinger, né le 12 juin 1960 à Sierre, de père autrichien, et de mère valaisanne, est une personnalité politique suisse, membre de l'Union démocratique du centre. Il est le fondateur de l'UDC Valais et conseiller d'État valaisan élu.

Citation du jour

“C'est flippant de voir quelque chose partir sans que tu puisses le retenir. Le pire c'est que t'en veux plus à ta propre faiblesse qu'à la lâcheté de celui qui part.”

— Grégoire Delacourt

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