Citation de Gabriel Sénac de Meilhan

“Mais la mode, cet arbitre suprême des français, n'avait point consacré son mérite, et il y avait peu de presse pour aller chez elle.”

― Gabriel Sénac de Meilhan

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Mais la mode, cet arbitre suprême des français, n'avait point consacré son mérite, et il y avait peu de presse pour aller chez elle. - Gabriel Sénac de Meilhan

Autres citations de Gabriel Sénac de Meilhan

“Ce qui doit dégoûter de la science, c'est que jamais elle ne nous apprendra ni l'origine du monde, ni le premier principe des êtres, ni leur destination.”

― Gabriel Sénac de Meilhan

“Les Allemands tiennent table pour faire bonne chère, et les Français pour réunir des personnes qui se conviennent.”

― Gabriel Sénac de Meilhan

“Le testament de la plupart des hommes est la révélation de leur indifférence, de leur ingratitude et de leur orgueil.”

― Gabriel Sénac de Meilhan

Source:
Considérations sur l'esprit et les moeurs, choisies, introduites et commentées (ed. 1905)

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Gabriel Sénac de Meilhan

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Gabriel Sénac de Meilhan

Biographie: Gabriel Sénac de Meilhan est un administrateur et écrivain français.

Citation du jour

“Rares sont les hommes qui additionnent les bonheurs. C'est à peine s'ils peuvent s'approcher d'une femme à la fois.”

— Gilles Archambault

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