Citation de Jacques Bainville

“Sans doute, quand la France ne court pas de grand péril extérieur, quand il n'y a pas au dedans de factions qui la déchirent, elle se gouverne aisément. Elle a tout ce qu'il faut pour être heureuse.”

― Jacques Bainville

Source:
(fr) Heur et malheur des Français, Jacques Bainville, éd. Nouvelle Librairie nationale, 1924, partie 3 « Histoire de France », chap. 7 « Louis XI : l'unité sauvée, l'ordre rétabli, la France reprend sa marche en avant », p. 394 (voir la fiche de référence de l'œuvre)

Citation en image:

Sans doute, quand la France ne court pas de grand péril extérieur, quand il n'y a pas au dedans de factions qui la déchirent, elle se gouverne aisément. Elle a tout ce qu'il faut pour être heureuse. - Jacques Bainville

Autres citations de Jacques Bainville

“Ainsi le traité de paix n'avait rien terminé par sa propre vertu. Il exige encore de nous des efforts et notre compte avec l'Allemagne est loin d'être réglé. Les travaux continuent avec les jours et les jours des peuples sont longs.”

― Jacques Bainville

Source:
Histoire de France

“La politique des agrandissements reprenait, la politique traditionnelle, patiente, mesurée, observant la loi de l'utile et du possible, celle que Richelieu définira : " Achever le pré carré. "”

― Jacques Bainville

Source:
Histoire de France

“On reconstruisit, comme on reconstruit toujours, avec du bon sens, par le travail et l'épargne, avec des principes paysans et bourgeois.”

― Jacques Bainville

Source:
Histoire de France

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Jacques Bainville

Naissance: 9 février 1879

Décès: 9 février 1936 (à 57 ans)

Biographie: Né Jacques Pierre Bainville, Jacques Bainville est un journaliste, chroniqueur de politique étrangère, historien et académicien français, né le 9 février 1879 à Vincennes, mort le 9 février 1936 à Paris. Jacques Bainville fut un proche de Charles Maurras.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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