Citation de Frédéric H. Fajardie

“Le garçon boucher me jeta un œil torve, à demi voilé, semblable à celui des bœufs qu'il découpait. Dira-t-on jamais assez les ravages du mimétisme ?”

― Frédéric H. Fajardie

Source:
Tueurs de flics

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Le garçon boucher me jeta un œil torve, à demi voilé, semblable à celui des bœufs qu'il découpait. Dira-t-on jamais assez les ravages du mimétisme ? - Frédéric H. Fajardie

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“Les deux épreuves les plus difficiles sur le chemin spirituel : la Patience d'attendre le bon moment et le Courage de n'être pas déçus par ce que vous trouvez.”

― Paulo Coelho

Source:
Véronika décide de mourir

“Ce n'est vraiment pas être un gentleman que de frapper une femme en gardant son chapeau sur la tête.”

― Marcel Achard

“Les artistes inventent le rêve, les femmes l'incarnent.”

― André Malraux

Source:
La corde et les souris (ed. 1976)

“Si Bouvard et Pecuchet vivaient aujourd'hui, ils passeraient leur temps à poster des statuts stupides sur Facebook et seraient très fiers d'eux.”

― Jonathan Coe

“Ce n'est pas un signe de bonne santé mentale d'être bien adapté à une société malade.”

― Jiddu Krishnamurti

Frédéric H. Fajardie

Naissance: 28 août 1947

Décès: 1er mai 2008 (à 60 ans)

Biographie: Frédéric H. Fajardie est un écrivain et scénariste français, maître du néo-polar ou polar social et des romans noirs, né le 28 août 1947 à Paris et mort le 1er mai 2008 à Paris.

Citation du jour

“Le cinéma est le plus totalitaire des arts. Toute énergie, toute sensation se fait sucer jusqu'au crâne, érection cérébrale, le crâne bouffi de sang. Caligula souhaitait un cou unique pour tous ses sujets afin qu'il puisse décapiter un royaume d'un seul geste. Le cinéma est cet agent transformateur. Le corps n'existe que pour les yeux, il devient une tige sèche qui porte ces deux joyaux mous et insatiables.”

— Jim Morrison

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