Citation de François Mitterrand

“La double domination américaine et soviétique avait habitué les dirigeants occidentaux à se croire installés dans un temps immobile. Ils agissaient comme si les rapports de force de notre continent étaient à jamais figés et attendaient des Allemands qu'ils se résignent à leur sort.”

― François Mitterrand

Source:
De l'Allemagne, de la France, François Mitterrand, éd. Odile Jacob, 2001, p. 19 - Ouvrages

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La double domination américaine et soviétique avait habitué les dirigeants occidentaux à se croire installés dans un temps immobile. Ils agissaient comme si les rapports de force de notre continent étaient à jamais figés et attendaient des Allemands qu'ils se résignent à leur sort. - François Mitterrand

Autres citations de François Mitterrand

“Je suis le dernier des grands présidents. Après moi, il n'y aura plus que des financiers et des comptables.”

― François Mitterrand

Source:
Propos rapportés

“La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l'Amérique... Oui, une guerre permanente, une guerre vitale... Leur propagande, les manipulations, leurs mensonges... Les Américains voulaient envoyer les Turcs bombarder les Serbes, j'ai fait ce qu'il fallait pour éviter cette folie.”

― François Mitterrand

Source:
Le dernier Mitterrand, Georges-Marc Benamou, éd. Plon, 1997, p. 52 ? - Propos rapportés

“Je fais don de ma personne au maréchal Pétain comme il a fait don de la sienne à la France. Je m'engage à servir ses disciplines et à rester fidèle à sa personne et à son œuvre.”

― François Mitterrand

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Discours

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François Mitterrand

Naissance: 26 octobre 1916

Décès: 8 janvier 1996 (à 79 ans)

Biographie: François Mitterrand, né le 26 octobre 1916 à Jarnac en Charente et mort le 8 janvier 1996 à Paris, est un homme d'État français. Il est le 21e président de la République française du 21 mai 1981 au 17 mai 1995.

Citation du jour

“C'est flippant de voir quelque chose partir sans que tu puisses le retenir. Le pire c'est que t'en veux plus à ta propre faiblesse qu'à la lâcheté de celui qui part.”

— Grégoire Delacourt

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