Citation de Carl von Clausewitz

“Finalement, l'issue ultime d'une guerre tout entière ne peut jamais être conçue comme un absolu ; souvent l'État vaincu y voit plutôt un mal temporaire, auquel les circonstances politiques de l'avenir pourront remédier.”

― Carl von Clausewitz

Source:
De la Guerre (1832), Carl von Clausewitz (trad. Laurent Murawiec), éd. Librairie Académique Perrin, 1999 (ISBN 2-262-01468-X), p. 37

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Finalement, l'issue ultime d'une guerre tout entière ne peut jamais être conçue comme un absolu ; souvent l'État vaincu y voit plutôt un mal temporaire, auquel les circonstances politiques de l'avenir pourront remédier. - Carl von Clausewitz

Autres citations de Carl von Clausewitz

“Certaines âmes philanthropiques pourraient construire en rêve quelque miraculeuse façon de désarmer ou de terrasser l'adversaire, sans causer trop de souffrance, et croire que l'art de la guerre évolue dans cette direction. Aussi désirable qu'elle soit, cette vue de l'esprit doit être réfutée. Car dans un état aussi dangereux que la guerre, les pires erreurs sont celles que nourrissent les bons sentiments.”

― Carl von Clausewitz

Source:
De la Guerre (1832), Carl von Clausewitz (trad. Laurent Murawiec), éd. Librairie Académique Perrin, 1999 (ISBN 2-262-01468-X), p. 32

“La guerre n'est que la simple continuation de la politique par d'autres moyens.”

― Carl von Clausewitz

Source:
De la Guerre (1832), Carl von Clausewitz (trad. Laurent Murawiec), éd. Librairie Académique Perrin, 1999 (ISBN 2-262-01468-X), p. 46

“La guerre est une poursuite de l'activité politique par d'autres moyens.”

― Carl von Clausewitz

Source:
De la guerre

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Carl von Clausewitz

Biographie: Carl Philipp Gottlieb von Clausewitz est un officier et théoricien militaire prussien. Il est l'auteur d'un traité majeur de stratégie militaire : De la guerre.

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“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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