Citation de Charles Bukowski

“Les femmes raffolent des imposteurs parce qu'ils savent embellir la réalité.”

― Charles Bukowski

Source:
Journal d'un vieux dégueulasse

Citation en image:

Les femmes raffolent des imposteurs parce qu'ils savent embellir la réalité. - Charles Bukowski

Autres citations de Charles Bukowski

“Le problème avec ce monde est que les personnes intelligentes sont pleines de doutes tandis que les personnes stupides sont pleines de confiance.”

― Charles Bukowski

“Le problème avec le monde, c'est que les gens intelligents sont pleins de doutes tandis que les plus stupides sont pleins de confiance.”

― Charles Bukowski

“La seule chose qui pourrait nous sauver serait d'inventer un nouveau concept, celui d'une Universelle et Vibratoire Education, qui engloberait de façon constructive le goût du bonheur, le sens de la réalité et la nécessité du changement, mais qui ne profiterait qu'à nos petits-enfants, à condition qu'ils n'aient pas été, dans l'intervalle, assassinés. mais ils le seront. je vous le parie à 25 contre 1, car nul concept nouveau ne saurait être toléré, vu qu'il signifierait la liquidation du gang au pouvoir.”

― Charles Bukowski

Source:
Journal d'un vieux dégueulasse (1996), Charles Bukowski, éd. Grasset & Fasquelle, coll. Le Livre de Poche, 1969 (ISBN 978-2-253-14384-0), p. 68 - Journal d'un vieux dégueulasse, 1969

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Charles Bukowski

Naissance: 16 août 1920

Décès: 9 mars 1994 (à 73 ans)

Biographie: Henry Charles Bukowski est un écrivain américain d'origine allemande, auteur de romans, de nouvelles et de poésie, né le 16 août 1920 à Andernach en Allemagne, mort le 9 mars 1994 à Los Angeles en Californie, aux États-Unis. Il est connu sous ses pseudonymes divers : Hank, Buk, Henry Chinaski, ce dernier étant celui de son alter ego dans ses nombreux romans autobiographiques.

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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