Citation de James Ellroy

“Qui est homosexuel, qui est communiste, qui est nymphomane, qui baise avec des noirs, qui a la plus grosse queue, qui a la plus petite, qui est un brouteur de gazon, qui est un avaleur de sabre... toute cette merde! Ce que l'on voulait c'était que notre grande industrie cinématographique et nos idoles soient démystifiés.”

― James Ellroy

Source:
Clara et Robert Kuperberg, American Dog, Arte, 16 novembre 2006

Citation en image:

Qui est homosexuel, qui est communiste, qui est nymphomane, qui baise avec des noirs, qui a la plus grosse queue, qui a la plus petite, qui est un brouteur de gazon, qui est un avaleur de sabre... toute cette merde! Ce que l'on voulait c'était que notre grande industrie cinématographique et nos idoles soient démystifiés. - James Ellroy

Autres citations de James Ellroy

“J'obtiens toujours ce que je veux. Cela prend plus ou moins de temps et me coûte toujours très cher. J'ai perfectionné l'art du prestidigitateur avec une précision étonnamment persévérante.”

― James Ellroy

Source:
La malédiction Hilliker

“Ce que j'ai découvert avec la mort de ma mère, c'est qu'il y avait un deuxième Los Angeles, rempli de voyeurs, rôdeurs, pédérastes, michetons, renifleurs de petites culottes, tafioles et maquereaux et j'ai acquis un savoir quasi divin pour un gamin de dix ans. En deux mots, le monde dont les adultes vous parlent, n'est pas le vrai. Il y en a un second, beaucoup plus sombre et plus riche, aux motivations plus profondes, qui existe simultanément au monde extérieur.”

― James Ellroy

Source:
Clara et Robert Kuperberg, American Dog, Arte, 16 novembre 2006

“[...] les flics et les putains travaillent sur le même trottoir pour ainsi dire.”

― James Ellroy

Source:
La trilogie Lloyd Hopkins, tome 2: A cause de la nuit

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James Ellroy

Naissance: 4 mars 1948 (77 ans)

Biographie: James Ellroy, de son vrai nom Lee Earle Ellroy, est un écrivain de polars américain.

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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