Citation de Corinne Maier

“Ne crois pas trop à ce que tu fais, ce serait inutile, voire antiproductif. Les individus qui prennent au sérieux les tâches qui leur sont confiées sont des empêcheurs de tourner en rond, voire des fanatiques, qui mettent en danger le système.”

― Corinne Maier

Source:
Bonjour paresse, 2004

Citation en image:

Ne crois pas trop à ce que tu fais, ce serait inutile, voire antiproductif. Les individus qui prennent au sérieux les tâches qui leur sont confiées sont des empêcheurs de tourner en rond, voire des fanatiques, qui mettent en danger le système. - Corinne Maier

Autres citations de Corinne Maier

“(...) des études prouvent que la vie familiale est un handicap pour la réussite professionnelle des femmes, tandis qu'elle constitue un atout pour les hommes: allez comprendre!”

― Corinne Maier

Source:
Bonjour paresse (2004), Corinne Maier, éd. Michalon, 2004 (ISBN 2-84186-231-3), p. 67 - Bonjour paresse, 2004

“Le but est de faire croire à ceux qui savent ce que ces acronymes signifient qu'ils appartiennent à une minorité privilégiée, celle des initiés qui sont vraiment dans le coup. Il est pourtant bien inutile de mémoriser le sens de ces acronymes cryptés. Ils changent tout le temps, au rythme des restructuratiosn successives dont la visée est de rebattre les cartes sans pour autant changer la donne (surtout pas!).”

― Corinne Maier

Source:
Bonjour paresse, 2004

“La stratégie, c'est simple, puisqu'il n'y a que deux choix possibles; du reste Fidel Castro, lider maximo des cubains, s'époumonait dans l'un de ses discours-fleuves des belles années (qui ne datent pas d'hier): "Il n'y a pas de troisième voie".”

― Corinne Maier

Source:
Bonjour paresse (2004), Corinne Maier, éd. Michalon, 2004 (ISBN 2-84186-231-3), p. 58 - Bonjour paresse, 2004

Toutes les citations de Corinne Maier

Corinne Maier

Naissance: 7 décembre 1963 (60 ans)

Biographie: Corinne Maier, née le 7 décembre 1963 à Genève, est psychanalyste à Bruxelles et à Paris et essayiste.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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