Citation de Marie-Sophie Vermot

“A l'école, dans ma classe, il y a un autre garçon adopté. Mais c'est un adopté blanc. Il a des cheveux noirs mais sa peau est blanche. Il y aussi deux autres garçons noirs, mais eux, c'est normal car ils ont des parents noirs.”

― Marie-Sophie Vermot

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A l'école, dans ma classe, il y a un autre garçon adopté. Mais c'est un adopté blanc. Il a des cheveux noirs mais sa peau est blanche. Il y aussi deux autres garçons noirs, mais eux, c'est normal car ils ont des parents noirs. - Marie-Sophie Vermot

Autres citations de Marie-Sophie Vermot

“A la maison, le champ de bataille s'est étendu. Le maçon abat des cloisons, en remonte d'autres, cinquante centimètres plus loin. Il travaille au rythme de la radio qui braille un tas d'anonces locales plus débiles les unes que les autres.”

― Marie-Sophie Vermot

Source:
Les Tribulations de l'escargot

Citations d'autres auteurs

“Le théâtre, c'est le souffleur. D'abord, il n'y a que lui qui sait toute la pièce !”

― Jean Anouilh

“Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.”

― Alexis de Tocqueville

“Chaque jour se répéter : " Je ne serai plus jamais aussi jeune qu'aujourd'hui ".”

― Roland Topor

Source:
Pense-bêtes, Roland Topor, éd. Le Cherche Midi, coll. Les Pensées, 1992 (ISBN 2-86274-256-2), p. 26

“Juif, c'est pas une religion ! Aucune religion ne fait pousser un nez comme ça !”

― Serge Gainsbourg

“L'amour est sublime et misérable, héroïque et stupide. Juste, jamais. Ce n'est pas l'amour qui relève du registre de la justice, c'est l'amitié.”

― Francesco Alberoni

Marie-Sophie Vermot

Naissance: 1960 (65 ans)

Biographie: Marie-Sophie Vermot est née à Montreuil en 1960. Elle a passé toute son enfance en Bourgogne. Elle a toujours détesté l'école, ce qui ne l'a pas empêchée d'étudier la littérature américaine, la danse contemporaine, la philosophie existentialiste ainsi que la peinture expressionniste. Elle est mariée et est mère de quatre enfants.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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