Citation de Aravind Adiga

“On avait ancré en moi le désir de servir : on me l'avait martelé dans le crâne, clou après clou, on l'avait versé dans mon sang comme on verse les eaux usées et le poison industriel dans le Gange.”

― Aravind Adiga

Source:
Le tigre blanc

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On avait ancré en moi le désir de servir : on me l'avait martelé dans le crâne, clou après clou, on l'avait versé dans mon sang comme on verse les eaux usées et le poison industriel dans le Gange. - Aravind Adiga

Autres citations de Aravind Adiga

“Je suis l'électeur le plus fidèle de l'Inde. Et pourtant, je n'ai jamais vu l'intérieur d'un isoloir.”

― Aravind Adiga

Source:
Le tigre blanc

“Je clamerai que ça valait la peine de connaître, ne serait-ce qu'une journée, une heure, une minute, le sentiment de n'être pas un serviteur.”

― Aravind Adiga

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Le tigre blanc

“Car l'Inde n'a jamais été libre. Les musulmans d'abord, puis les Britanniques, nous ont menés à la baguette. Les Britanniques sont partis en 1947, mais il n'y a que les imbéciles pour prenser que cela nous a libérés.”

― Aravind Adiga

Source:
Le tigre blanc

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Aravind Adiga

Naissance: 23 octobre 1974 (51 ans)

Biographie: Aravind Adiga est un journaliste et écrivain indien né à Chennai le 23 octobre 1974. Son premier roman, The White Tiger, a obtenu le prix Booker en 2008.

Citation du jour

“Le cinéma est le plus totalitaire des arts. Toute énergie, toute sensation se fait sucer jusqu'au crâne, érection cérébrale, le crâne bouffi de sang. Caligula souhaitait un cou unique pour tous ses sujets afin qu'il puisse décapiter un royaume d'un seul geste. Le cinéma est cet agent transformateur. Le corps n'existe que pour les yeux, il devient une tige sèche qui porte ces deux joyaux mous et insatiables.”

— Jim Morrison

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