Citation de Alexandre Dumas

“Ainsi, reprit de Winter en riant, ces beaux cheveux savamment étalés, cette peau blanche et ce langoureux regard ne t'ont pas encore séduit, cœur de pierre ? – Non, Milord, répondit l'impassible jeune homme, et croyez-moi bien, il faut plus que des manèges et des coquetteries de femme pour me corrompre.”

― Alexandre Dumas

Source:
« Les Trois Mousquetaires », dans Les Trois Mousquetaires - Vingt Ans après, Alexandre Dumas, éd. Gallimard, 1962 (ISBN 2-070-10180-0), chap. LII (« Première journée de captivité »), p. 562 - Les Trois Mousquetaires, 1844

Citation en image:

Ainsi, reprit de Winter en riant, ces beaux cheveux savamment étalés, cette peau blanche et ce langoureux regard ne t'ont pas encore séduit, cœur de pierre ? – Non, Milord, répondit l'impassible jeune homme, et croyez-moi bien, il faut plus que des manèges et des coquetteries de femme pour me corrompre. - Alexandre Dumas

Autres citations de Alexandre Dumas

“La femme, assure la Bible, est la dernière chose que Dieu a faite. Il a dû la faire le samedi soir. On sent la fatigue.”

― Alexandre Dumas

“À tous les maux, il est deux remèdes : le temps et le silence.”

― Alexandre Dumas

Source:
Le Comte de Monte-Cristo

“Jusqu'au jour où Dieu daignera dévoiler l'avenir à l'homme, toute la sagesse humaine sera dans ces deux mots : " Attendre et espérer ! "”

― Alexandre Dumas

Source:
Le Comte de Monte-Cristo (1845 1846), Alexandre Dumas, éd. Le Livre de poche Jeunesse, coll. Roman historique, 2002 (ISBN 2-01-322008-1), t. 2, chap. 74 « Conclusion », p. 535 - Le Comte de Monte-Cristo, 1844

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Alexandre Dumas

Naissance: 24 juillet 1802

Décès: 5 décembre 1870 (à 68 ans)

Biographie: Alexandre Dumas est un écrivain français né le 24 juillet 1802 à Villers-Cotterêts et mort le 5 décembre 1870 à Puys, près de Dieppe.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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