Citation de Arlette Laguiller

“Quant à critiquer les épouvantables tares du régime stalinien, j'appartiens à un courant qui a combattu le stalinisme dans ses prémisses, qui a toujours dénoncé la dictature de Staline et de ses successeurs, y compris quand toute une partie des gens qui aujourd'hui font profession de dénoncer les " crimes du communisme " encensaient les maîtres du Kremlin et justifiaient ou taisaient leurs crimes.”

― Arlette Laguiller

Source:
Mon communisme, Arlette Laguiller, éd. Plon, 2002 (ISBN 2-259-19607-1), chap. Introduction, p. 8

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Quant à critiquer les épouvantables tares du régime stalinien, j'appartiens à un courant qui a combattu le stalinisme dans ses prémisses, qui a toujours dénoncé la dictature de Staline et de ses successeurs, y compris quand toute une partie des gens qui aujourd'hui font profession de dénoncer les

Autres citations de Arlette Laguiller

“J'aime bien la lecture, parce que c'est une bonne façon de s'enrichir sans voler personne...”

― Arlette Laguiller

“La découverte des critiques de Trotski envers le régime stalinien, ses condamnations de son système politique en même temps que son soutien aux acquis qu'avait permis la révolution, ont constitué pour moi une véritable révélation, parce qu'elles m'ont enfin permis de comprendre ce qu'il y avait de contradictoire entre les idéaux communistes d'une part, et ce que je pouvais savoir - ou pressentir - de la réalité de l'URSS et des pays de l'Europe de l'Est d'autre part.”

― Arlette Laguiller

Source:
C'est toute ma vie, Arlette Laguiller, éd. Plon, 1996 (ISBN 2-259-18340-9), chap. 5 Trotskiste, p. 63

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Arlette Laguiller

Naissance: 18 mars 1940 (84 ans)

Biographie: Arlette Laguiller, née le 18 mars 1940 dans le 14e arrondissement de Paris, est une femme politique française d'extrême gauche, appartenant au mouvement Lutte ouvrière.

Citation du jour

“[Sur l'administration] Entre les gros chefs centralisés, suintant du fond de leur carrière, les prétendants déconcentrés qui se tapent les barreaux de l'échelle, et la ribambelle de décentralisés, indépendants pour faire joli, on se tord les tripes pour un rien.”

— Loïc Decrauze

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