Leonardo Padura Fuentes (7 citations)

“Apprends à t'aider toi-même et arrête de te plaindre.”

― Leonardo Padura Fuentes

Source:
Électre à La Havane

“Chaque livre, n'importe lequel, est irremplaçable, chacun a un mot, une phrase, une idée qui attend son lecteur.”

― Leonardo Padura Fuentes

Source:
Les Brumes du passé

“La conviction que le monde pouvait être un champ de bataille mais qu'une bibliothèque était un terrain inviolablement neutre et collectif s'était enraciné dans son esprit comme un des apports les plus beaux de sa vie.”

― Leonardo Padura Fuentes

Source:
Les Brumes du passé

“L'Espagne que Ramon découvrait était une poudrière en attente de celui qui allumerait la mèche pour tout faire sauter : c'était un pays meurtri qui s'efforçait de se libérer des pesanteurs du passé et des frustrations du présent.”

― Leonardo Padura Fuentes

Source:
L'homme qui aimait les chiens

“Pour nous, tout est écrit d'avance, non? De la maternelle à la tombe, ils ont tout choisi, sans même nous demander de quoi nous souhaitions mourir.”

― Leonardo Padura Fuentes

Source:
L'Automne à Cuba

“Le fait d'être l'unique dépositaire d'un récit capable à lui seul de tarir la source de tant de rêves me poussait à évacuer l'horreur qu'on m'avait inoculée...”

― Leonardo Padura Fuentes

Source:
L'homme qui aimait les chiens

“(...) quand je vois comment va le monde, je crois qu'un jour j'ai rêvé de l'améliorer un tout petit peu pour qu'il ne soit pas aussi merdique et j'ai avalé l'histoire que je pouvais le faire en étant flic. C'était un rêve romantique, non ?”

― Leonardo Padura Fuentes

Source:
Les Brumes du passé

Leonardo Padura Fuentes

Wikimedia Commons

Leonardo Padura Fuentes

Naissance: 1955 (68 ans)

Biographie: Leonardo Padura Fuentes est un journaliste et écrivain cubain né en 1955 à La Havane.

Naissance en 1955

Citation du jour

“[Sur l'administration] Entre les gros chefs centralisés, suintant du fond de leur carrière, les prétendants déconcentrés qui se tapent les barreaux de l'échelle, et la ribambelle de décentralisés, indépendants pour faire joli, on se tord les tripes pour un rien.”

— Loïc Decrauze

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