Han Suyin (2 citations)

“Qui donc ayant une fois su ce que c'est que d'être vivant, voudrait retourner vers les morts ? Qui, ayant une fois vu la Vie, n'en reste pas ensorceler pour toujours ?”

― Han Suyin

“Son sourire était tranquille, désarmé; il n'avait rien de la grimace cordiale, quelque peu forcée, que certains étrangers se croient obligés d'afficher. C'était ce que nous, les Chinois, appelons " un sourire qui ouvre le cœur ".”

― Han Suyin

Source:
Multiple splendeur

Citations d'autres auteurs

“L'amitié est certes le plus doux des baumes aux plaies des amours décues.”

― Jane Austen

Source:
Northanger Abbey

“La nuit quand on ne dort pas les soucis se multiplient, ils enflent, s'amplifient, à mesure que l'heure avance les lendemains s'obscurcissent, le pire rejoint l'évidence, plus rien ne paraît possible, surmontable, plus rien ne paraît tranquille.”

― Delphine de Vigan

Source:
No et moi

“Tous les hommes qui dans l'histoire, ont eu une action réelle sur l'avenir, avaient les yeux fixés sur le passé.”

― Gilbert Keith Chesterton

“Je suis pleinement favorable au mariage gay, mais seulement entre politiciens de gauche. Tout ce qui peut contribuer à leur non-reproduction est un bienfait pour tous !”

― Jean d'Ormesson

Source:
Mariage gay, Jean d'Ormesson, éd. francepresseinfos.com, 2013, p..

“L'ingratitude attire les reproches, comme la reconnaissance attire de nouveaux bienfaits.”

― Marie de Rabutin-Chantal (marquise de Sévigné)

Han Suyin

Naissance: 12 septembre 1917

Décès: 2 novembre 2012 (à 95 ans)

Biographie: Han Suyin est le pseudonyme de Chou Kuanghu, connue aussi sous le nom de Rosalie Élisabeth Comber, née le 12 septembre 1917 à Xinyang, dans la province du Henan, et morte le 2 novembre 2012 à Lausanne, en Suisse, où elle résidait. Han Suyin est une doctoresse en médecine, sinologue et écrivaine d'origine chinoise et belge.

Naissance en 1917

Naissance le 12 septembre

Citation du jour

“[Sur l'administration] Entre les gros chefs centralisés, suintant du fond de leur carrière, les prétendants déconcentrés qui se tapent les barreaux de l'échelle, et la ribambelle de décentralisés, indépendants pour faire joli, on se tord les tripes pour un rien.”

— Loïc Decrauze

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