Franz Kafka (87 citations)

“Ce n'est pas à l'ampleur du travail que celle du cas se mesure, si vous avez de telles idées vous êtes encore bien loin de comprendre l'administration.”

― Franz Kafka

Source:
Le Château

“J'écris autrement que je ne parle, je parle autrement que je ne pense, je pense autrement que je ne devrais penser, et ainsi jusqu'au plus profond de l'obscurité.”

― Franz Kafka

“Que voulez-vous, je suis un homme de loi. C'est pourquoi je ne peux me libérer du mal.”

― Franz Kafka

“Un journal est une hache pour la mer gelée en nous.”

― Franz Kafka

“Mettez la compréhension active en lieu et place de l'irritation réactive et vous dominerez les choses.”

― Franz Kafka

“Les parents qui attendent de la reconnaissance de leurs enfants sont comme ces usuriers qui risquent volontiers le capital pour toucher les intérêts.”

― Franz Kafka

“Une fois de plus, telle était l'impression de l'enfant, on avait conservé la vie par l'effet de te grâce et on continuait à la porter comme un présent immérité.”

― Franz Kafka

Source:
Lettre au père

“Le premier animal domestique d'Adam après l'expulsion du Paradis fut le serpent.”

― Franz Kafka

“Gregor avait l'impression que son père n'était plus seul, mais que plusieurs pères s'étaient ligués contre lui.”

― Franz Kafka

Source:
La Métamorphose

“On ne peut rien faire contre ce tribunal, on est obligé d'avouer. Passez donc aux aveux à la première occasion. Ce n'est qu'à partir de ce moment-là que vous aurez une possibilité de vous en tirer, pas avant.”

― Franz Kafka

Source:
Le Procès

“K. ne dit rien, il ne leva même pas les yeux, laissant les deux fonctionnaires discuter à son propos comme d'un objet.”

― Franz Kafka

Source:
Le Procès

“Les chaînes de l'humanité torturée sont en papiers de ministères.”

― Franz Kafka

“Si les Français étaient allemands de par leur nature, c'est pour lors que les Allemands les admireraient.”

― Franz Kafka

“Même ma logeuse, une personne extrêmement simple (...) a eu assez de bon sens pour voir qu'une telle arrestation n'avait pas plus d'importance qu'une agression perpétrée au coin d'une rue par des galopins laissés sans surveillance.”

― Franz Kafka

Source:
Le Procès

“Le tribunal ne te demande rien. Il t'accueille quand tu viens, et te laisse partir quand tu t'en vas.”

― Franz Kafka

Source:
Le Procès

“Le niveau de la masse dépend de la conscience de l'individu.”

― Franz Kafka

“«Était-il un animal, alors que la musique le bouleversait tant ?» A méditer”

― Franz Kafka

Source:
La Métamorphose

“L'amour, c'est que tu sois pour moi le couteau avec lequel je fouille en moi.”

― Franz Kafka

“Je suis reconnaissant qu'on m'ait donné pour escorte ces deux messieurs bornés et à demi muets.”

― Franz Kafka

Source:
Le Procès

“Lorsque Gregor Samsa s'éveilla un matin, au sortir de rêves agités, il se trouva dans son lit métamorphosé en un monstrueux insecte.”

― Franz Kafka

Source:
La Métamorphose

“Ce que tu dis là est plausible, dit le bastonneur, mais je ne me laisserai pas soudoyer. On m'emploie pour bastonner, je bastonne.”

― Franz Kafka

Source:
Le Procès

“Le regard ne s'empare pas des images, ce sont elles qui s'emparent du regard. Elles inondent la conscience.”

― Franz Kafka

“Il y a un but, mais pas de chemin ; ce que nous nommons chemin est hésitation.”

― Franz Kafka

Source:
Oeuvres complètes: Carnets (ed. 1963)

“Toute littérature est assaut contre la frontière.”

― Franz Kafka

“Le capitalisme est un état du monde et un état de l'âme.”

― Franz Kafka

Source:
L'Amérique. Le procès. Le château (ed. 1976)

Franz Kafka

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Franz Kafka

Naissance: 3 juillet 1883

Décès: 3 juin 1924 (à 40 ans)

Biographie: Franz Kafka est un écrivain pragois de langue allemande et de religion juive, né le 3 juillet 1883 à Prague et mort le 3 juin 1924 à Kierling. Il est considéré comme l'un des écrivains majeurs du XXe siècle.

Naissance en 1883

Naissance le 3 juillet

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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