Bruce Lowery (7 citations)

“-Oh, il faudra bien que je sois puni.Mais puni d'une autre façon, s'il Te plait, Dieu. Je ne le mérite pas, je sais...J'espère que j'ai de la foi gros comme un grain de moutarde.”

― Bruce Lowery

Source:
La cicatrice

“Comme il est difficile de vivre avec un être qu'on déteste, quand cet être, c'est vous-même.”

― Bruce Lowery

Source:
La Cicatrice (1960), Bruce Lowery, éd. J'ai Lu, coll. Roman, Octobre 2007 (ISBN 978-2-290-20165-7), chap. 10, p. 62 - La Cicatrice, 1960 (Prix Rivarol et Prix de l'Universalité de la langue française en 1961)

“Comme il est difficile de vivre avec un être qu'on déteste, quand cet être, c'est nous-même.”

― Bruce Lowery

“Ce qui rend méchant, c'est parfois moins la méchanceté d'autrui que le dégoût qu'on a de soi-même.”

― Bruce Lowery

Source:
La Cicatrice (1960), Bruce Lowery, éd. J'ai Lu, coll. Roman, Octobre 2007 (ISBN 978-2-290-20165-7), chap. 12, p. 79 - La Cicatrice, 1960 (Prix Rivarol et Prix de l'Universalité de la langue française en 1961)

“Certains bleus font beaucoup moins de mal que l'indifférence.”

― Bruce Lowery

Source:
La Cicatrice (1960), Bruce Lowery, éd. J'ai Lu, coll. Roman, Octobre 2007 (ISBN 978-2-290-20165-7), chap. 9, p. 48 - La Cicatrice, 1960 (Prix Rivarol et Prix de l'Universalité de la langue française en 1961)

“Rien n'est pire, en présence de " proches " qui ne le sont plus vraiment, que ces lacunes de silence...”

― Bruce Lowery

Source:
La Cicatrice (1960), Bruce Lowery, éd. J'ai Lu, coll. Roman, Octobre 2007 (ISBN 978-2-290-20165-7), chap. 10, p. 60 - La Cicatrice, 1960 (Prix Rivarol et Prix de l'Universalité de la langue française en 1961)

“Une monnaie s'use davantage quand la frappe est faible.”

― Bruce Lowery

Source:
La Cicatrice (1960), Bruce Lowery, éd. J'ai Lu, coll. Roman, Octobre 2007 (ISBN 978-2-290-20165-7), chap. 3, p. 14 - La Cicatrice, 1960 (Prix Rivarol et Prix de l'Universalité de la langue française en 1961)

Bruce Lowery

Biographie: Bruce Lowery est un écrivain américain.

Personnalité américaine

Écrivain

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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