Source: René ou la vie de Chateaubriand (1938), André Maurois, éd. Grasset, coll. Les Cahiers Rouges, 1956 (ISBN 2-246-18904-7), chap. IV « Le Génie du Christianisme », II La petite société « Atala », p. 132
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”