Source: Danse macabre, Stephen King (trad. Lorris Murail et Natalie Zimmermann), éd. J'Ai Lu, 1997 (ISBN 2-277-21355-1), partie Avant-propos, p. 23 - Danse macabre, 1978
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”