Source: « Bérénice », dans Bérénice, Jean Racine, éd. Bordas, coll. Classiques Bordas, 1995 (ISBN 2-04-028271-8), acte IV, scène 6, p. 102, vers 1225;1226
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”