Source: Journaux de guerre 1939-1948 (1979), Ernst Jünger (trad. Frédéric de Towarnicky, revue par Henri Plard et Julien Hervier), éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 2008, p. 764
“Il n'y a rien de tel qu'une attaque par surprise. La surprise n'intervient que lorsque l'un des deux commandants s'est totalement trompé dans son appréciation de la situation depuis le commencement.”