 | “ Maladresse du solitaire que je suis. Comment aiguiser une quelconque lucidité dans ce pataugeage imbécile. Piteux décalé, voilà ma pancarte crucifiée face frontale. Je n'ose soulever le bout de papelard taché, de crainte de me découvrir concepteur d'une atroce tache, digne du plus languien art moderne. Pitre, triste pitre, aux cieux, crevé, tu finiras. L'œil gauche tendance flou, l'écoulement purulent pointe au coin de la prunelle ; je laisse remonter, comme de petits vomissements mentaux, les vapeurs d'Elephant man.” Source: Au Purgatoire, 17 juin 1994, dans Blogspot.com, Loïc Decrauze. |