Source: Sentences de Publius Syrus traduites en français (Ier siècle av. JC), Publius Syrus (trad. Francis Levasseur), éd. C. L. F. Pancoucke, 1825, p. 77
“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”