Source: La Constitution de la liberté (1960), Friedrich Hayek (trad. Raoul Audoin et Jacques Garello), éd. Litec, coll. Libéralia, 1996 (ISBN 9782711124107), p. 106
“C'est à l'animus qu'appartiennent les projets et les soucis, deux manières de n'être pas présent à soi-même. À l'anima appartient la rêverie qui vit le présent des heureuses images.”