Source: Journal d'Aran et d'autres lieux (1990), Nicolas Bouvier, éd. Payot, coll. Petite Bibliothèque Payot/Voyageurs), 2001 (ISBN 978-2-228-89406-7), p. 9
“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”