José Eustasio Rivera (1 citation)

“Vous ignorez la torture d'errer en liberté dans une prison comme la forêt, dont les voûtes vertes ont pour murs des fleuves immenses.”

― José Eustasio Rivera

Citations d'autres auteurs

“La majorité a toujours tort. Parce qu'elle est composée d'imbéciles. La minorité aussi est composée d'imbéciles. Mais ils sont moins nombreux.”

― Léo Campion

“Les techniques s'affinent, l'intelligence de l'homme n'évolue pas.”

― Loïc Decrauze

Source:
Les Boyaux de la Pomme à Guillaume, Loïc Decrauze, éd. Res Universalis, 1987, p. 19

“La plus jeune Sœur vint à moi comme l'incarnation de ma pensée la plus belle. Sa robe était du même violet que le soir. Cette femme m'évoquait la fragilité de la nacre et la tristesse altière des cygnes noirs au sillage obscur. Répondant à mon silence, elle murmure: " J'ai cherché dans cette ombre non point la paix, comme l'Exilé frappant aux portes du monastère, mais l'Infini. " Et je vis que son visage ressemblait au divin visage de la Solitude.”

― Renée Vivien

Source:
La Dame à la Louve, 1904

“Bien mal acquis ne profite jamais qu'à ceux qui sont assez malins pour ne pas se faire épingler.”

― Pierre Dac

“Le public ne croit point à la pureté de certaines vertus et de certains sentiments ; et, en général, le public ne peut guère s'élever qu'à des idées basses.”

― Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort

Source:
Oeuvres choisies (ed. 1866)

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José Eustasio Rivera

Naissance: 19 février 1888

Biographie: José Eustasio Rivera est un écrivain colombien né à Neiva le 19 février 1888 et mort à New York le 1er décembre 1928. Son œuvre principale est La Vorágine, roman publié en 1924 qui décrit la vie dans les llanos et est considéré comme l'un des romans les plus importants de la littérature sud-américaine.

Naissance en 1888

Naissance le 19 février

Citation du jour

“Un spirituel Anglais, M. Disraeli, voudrait faire croire Bonaparte Juif d'origine. Et comme la Corse fut autrefois peuplée par les Sémites d'Afrique, Arabes, Carthaginois ou Maures, Maranes, disent les Espagnols, il semble appartenir à ceux-ci plus qu'aux Italiens. L'amour de thésauriser, tant de millions entassés aux caves des Tuileries, cela sent aussi le Marane. De Pradt dit à merveille : "L'Empereur est tout ruse, ruse doublée de force. Mais il attache plus de prix à sa ruse. Pour lui, triompher n'est rien; c'est attraper qui est tout : "Je suis fin" m'a-t-il cent fois."”

— Jules Michelet

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