Source:
Les Carnets du sous-sol, Fedor Dostoïevski (trad. André Markowicz), éd. Babel, 1863 (ISBN 2-86869-799-2), p. 123 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - Partie II : Sur la neige mouillée

“Il faut être un grand homme pour savoir résister même au bon sens.”

― Fiodor Dostoïevski

“Maintenant que j'achève ma vie dans mon trou, je me moque de moi-même et je me console avec cette certitude aussi bilieuse qu'inutile : car quoi, un homme intelligent ne peut rien devenir - il n'y a que les imbéciles qui deviennent. Un homme intelligent du XIXe siècle se doit - se trouve dans l'obligation morale - d'être une créature essentiellement sans caractère ; un homme avec un caractère, un homme d'action, est une créature essentiellement limité.”

― Fiodor Dostoïevski

Source:
Les Carnets du sous-sol, Fedor Dostoïevski (trad. André Markowicz), éd. Babel, 1863 (ISBN 2-86869-799-2), p. 13 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - Partie I : Le Sous-sol

“C'est toujours la même chose : tout ce qui nous arrive s'accorde à notre état d'âme et quand on est triste, il ne survient que des choses désagréables.”

― Fiodor Dostoïevski

“Stavroguine, s'il croit ne croit pas qu'il croit. Et s'il ne croit pas, il ne croit pas qu'il ne croit pas.”

― Fiodor Dostoïevski

“Qui sait ? peut-être que tout mon amour était une illusion des sens, de l'imagination ?”

― Fiodor Dostoïevski

Source:
Les Nuits Blanches

“Il faut croire qu'il est vrai que toute la seconde moitié de la vie humaine n'est faite d'ordinaire que des habitudes contractées pendant la première.”

― Fiodor Dostoïevski

“Plus la tête d'un homme est vide et moins elle éprouve le besoin de se remplir.”

― Fiodor Dostoïevski

“Et, qui sait, (on n'en jurerait pas), peut-être tout notre but en ce monde, ce but vers quoi l'humanité tend tellement, ne tient-il justement que dans le caractère continuel du processus de sa conquête.”

― Fiodor Dostoïevski

Source:
Les Carnets du sous-sol, Fedor Dostoïevski (trad. André Markowicz), éd. Babel, 1863 (ISBN 2-86869-799-2), p. 48 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - Partie I : Le Sous-sol

“Cette colère était froide, calme, et si l'on peut s'exprimer ainsi, raisonnable, donc la plus répugnante et la plus terrible de toutes.”

― Fiodor Dostoïevski

“Mais le plaisir est toujours utile et un pouvoir absolu, sans limites, fût-ce sur une mouche, est aussi une sorte de jouissance. L'homme est un despote par nature : il aime faire souffrir.”

― Fiodor Dostoïevski

“La peur, comme de la glace, lui avait enveloppé l'âme toute entière, l'avait mis au supplice, pétrifié...”

― Fiodor Dostoïevski

Source:
Crime et Châtiment

“Bref, j'ai fait mon éloge, comme il arrive toujours en fin de compte quand nous entreprenons de nous examiner.”

― Fiodor Dostoïevski

Source:
Les Nuits Blanches

“Essayez de concevoir la seconde, que dis-je, le quart de seconde pendant lequel le criminel entend glisser le couperet qui doit le décapiter. Il n'y a rien de plus hallucinant.”

― Fiodor Dostoïevski

“Si les larmes des enfants sont indispensables pour parfaire la somme de douleur qui sert de rançon à la vérité, j'affirme catégoriquement que celle-ci ne mérite pas d'être payée d'un tel prix.”

― Fiodor Dostoïevski

“Le criminel, au moment où il accomplit son crime est toujours un malade.”

― Fiodor Dostoïevski

“À notre époque, tout homme comme il faut est et doit-être lâche et servile.”

― Fiodor Dostoïevski

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Fiodor Dostoïevski

Naissance: 11 novembre 1821

Décès: 9 février 1881 (à 59 ans)

Biographie: Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski Écouter est un écrivain russe, né à Moscou le 11 novembre 1821 et mort à Saint-Pétersbourg le 9 février 1881. Il est généralement considéré comme l'un des plus grands romanciers russes, et a influencé de nombreux écrivains et philosophes.

Naissance en 1821

Naissance le 11 novembre

Citation du jour

“- Tu es complètement cinglée ou quoi ? Flirter avec Eliot Stock sous le nez de Belissa Norwood, chez Belissa Norwood, en mangeant les cupcakes de Belissa Norwook ?”

— Sarah Dessen

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