Aurélien Scholl (39 citations)

“La fidélité conjugale, une terrible démangeaison avec défense de se gratter.”

― Aurélien Scholl

“Voyons ! Si Dieu n'existait pas, comment aurait-il eu un fils ?”

― Aurélien Scholl

“Pour aller plus vite, j'additionne toujours de bas en haut : je fais du même coup l'addition et la preuve.”

― Aurélien Scholl

“Les mauvaises affaires sont les bonnes. Plus l'eau est trouble, meilleure est la pêche.”

― Aurélien Scholl

“L'époque la plus favorable pour la répression d'un abus, c'est le jour où on le découvre.”

― Aurélien Scholl

“Je respecte l'opinion des particuliers en général et l'opinion des généraux en particulier.”

― Aurélien Scholl

“Quel besoin de se venger d'une femme ? La nature s'en charge, il n'y a qu'à attendre.”

― Aurélien Scholl

“Le troisième drapeau, le drapeau de fer-blanc, le drapeau de la majorité des français, c'est la girouette.”

― Aurélien Scholl

“Il est plus facile de crier contre le monde que d'y tenir sa place.”

― Aurélien Scholl

Source:
La foire aux artistes. Petites comédies parisiennes (ed. 1859)

“La jeunesse s'instruit par intuition. Si l'on ne savait que ce qu'on apprend on ne saurait rien.”

― Aurélien Scholl

Source:
Lettres à mon domestique (ed. 1854)

“Ne plus aimer n'est qu'un malheur, ne pas le dire est une injure.”

― Aurélien Scholl

“Le monde est bien mal fait : c'est justement pendant les nuits les plus noires qu'on ne voit pas la lune !”

― Aurélien Scholl

“Les mariages ont leur lune de miel ; les veuvages aussi.”

― Aurélien Scholl

Source:
L'Esprit d'Aurélien Scholl (ed. 1925)

“On compare généralement la politique à un échiquier. On a tort : c'est un jeu de dames.”

― Aurélien Scholl

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Aurélien Scholl

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Aurélien Scholl

Naissance: 13 juillet 1833

Décès: 16 avril 1902 (à 68 ans)

Biographie: Aurélien Scholl, né à Bordeaux le 13 juillet 1833 et mort à Paris le 16 avril 1902, est un journaliste, auteur dramatique, chroniqueur et romancier français.

Naissance en 1833

Naissance le 13 juillet

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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